Adjo’a Sika Bélinda Ajavon à l’état-civil et Adjo’a Sika comme nom de scène !

C’est la carte de visite principale de cette jeune chanteuse togolaise, talentueuse, qui devrait crever l’écran dans les mois et années à venir dans l’univers musical togolais, si elle maintient le cap de son rythme de travail acharné.

«AKOFA», sa première galette musicale qui couronne de longues années de travail est dans les bacs depuis ce mois de décembre 2015.

«AKOFA» (traduction en mina de «la paix intérieure») a été choisi comme titre du 1er album d’Adjo’a Sika pour exprimer l’attachement de l’artiste aux idéaux de paix, de concorde et d’harmonie qu’elle véhicule à travers ce qu’elle appelle elle-même de l’afrojazz. Le morceau «Some ne gnon» (extrait d’«AKOFA») a longtemps annoncé dans le microcosme médiatique togolais la sortie officielle de cet opus.


Adepte du live, elle est entourée de musiciens qui cheminent avec elle depuis plus d’une demi-décennie. Chrétienne pratiquante, cette grande passionnée des TIC s’est forgée un solide bagage musical dans l’afro-jazz, la world music et le chant choral ces dix dernières années.

Pour l’heure, cette artiste aux formes généreuses a essentiellement foulé des scènes musicales en Afrique occidentale.


Cependant, avec le lancement «d’AKOFA», elle devrait très rapidement élargir les rangs de ses fans au Togo, en Afrique et dans le reste du monde. Modeste, humble, A. Sika a lancé depuis fin novembre 2015 le clip officiel de son premier bébé discographique qui tourne en boucle sur les radios et télévisions togolaises.


Depuis début novembre 2015, A. Sika passe aussi en boucle sur les télévisions togolaises, grâce à son featuring avec Kosi Ape’son dans un autre morceau non moins célèbre, «Sénana».


Le plus grand rêve que cette férue du mélange de rythmes traditionnels africains et de sonorités inventées par des Afros nourrit est un featuring avec le célèbre Camerounais Richard Bona.



Par Edem GADEGBEKU